On construit des maisons mais on ne les finit pas
Véronique GENTIL
derrière la pluie, sur le matelas des rivières et des soirées d’automne, lorsqu’on traque par la vitre de fausses figures d’arbres et les ronces qui ont poussé la haie un peu plus loin, un monde enfin pour nous ou une chose qui nous est tellement étrangère qu’elle nous devient jumelle, vivre n’est plus que voir
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Ce qu’ils en disent